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Hommage à Robert Badinter et Pierre-Jean Grosley

C’est dans une des rues qui longent le palais de justice qu’une maison se voit dotée dorénavant d’une fresque de street art.

On y voit deux visages peints sur la façade. L’un à droite, de Pierre-Jean Grosley et l’autre à gauche, de Robert Badinter.

Il y a une maxime au-dessus de la porte d’entrée « Observer l’homme en général et le défendre dans un endroit particulier » signé TROY3S fois plus fort

Et au-dessous du visage de Robert Badinter souriant , l’article 1 de la loi du 9 octobre 1981, portant abolition de la peine de mort.